Pascale
17 févr. 20231 Min
C'est une question récurrente, aussi récurrente que celle concernant la présence du propriétaire du chien durant une séance.
Certains principes fondamentaux méritent d'être suivis à la lettre dès lors qu'ils sont justifiés et qu'ils n'induisent aucune conséquence néfaste.
Pour illustrer cette réflexion et montrer ce caractère variable entre théorie et application, j'ai en souvenir une séance de massage avec mes chiens en 2013 :
Dès que j'ai commencé à masser Eliot, Chen-Li est venue à côté de lui et est restée. Une fois qu'Eliot a eu son massage, j'ai commencé celui de Chen-Li et Eliot s'est installé sur le tapis à côté de Chen-Li ! Ni Eliot, ni Chen-Li n'ont été perturbés durant la séance. Ils avaient le choix de rester ou de partir.
La théorie voudrait qu’il y ait un minimum de stimuli dans l’environnement du chien, pour réduire les risques de perturbation.
Sauf que … cette théorie doit cependant exclure toute forme de psychorigidité car n’oublions pas le propre du vivant !
On teste et on adapte : si la présence d’autres animaux n’empêche pas le chien de se relâcher, c’est ok. Si la mise l’écart des autres animaux suscite de l’agitation de par et d’autre, on s’aperçoit la plupart du temps que tout s’apaise si tout le monde est rassemblé.